Ce que dit la médecine :
Cette affection gynécologique est caractérisée par la présence d’endomètre – tissu tapissant la cavité de l’utérus – en dehors de cette cavité.
Pathologie fréquente, elle est responsable de douleurs pelviennes et de certains cas de stérilité, elle est responsable de douleurs pelviennes et de certains cas de stérilité, et occasionne encore parfois des ménorragies (règles longues et abondantes) et des dyspareunies.
Le plus souvent, on retrouve des foyers d’endométriose, dans l’utérus (on l’appelle en ce cas d’adénomyose) ou sur les ovaires, ou encore dans les trompes (ce qui est un facteur propice aux grossesses extra-utérine), ou enfin à la surface externe des anses intestinales.
Le diagnostic se fait par coelioscopie. Le traitement médical utilise un certain nombre d’hormones pour réduire les symptômes.
Ce que dit l’étiopathie :
Attentions aux nombreux faux diagnostics : la médecine allopathique a trop souvent tendance à associer une endométriose à des douleurs pelviennes !
L’étiopathie agira en l’espèce de manière préventive et curative dans les phases débutantes.
Les interventions ont pour but de stopper la migration de nouvelles cellules de l’endomètre, donc d’éviter de nouveaux foyers d’endométriose, mais aussi et surtout de réduire les foyers d’endométriose déjà installés, de supprimer les douleurs et encore de restaurer la fertilité des patientes.
Le traitement de l’étiopathe consiste en un travail du petit bassin à visée circulatoire destiné à régulariser la circulation pelvienne ainsi qu’une régulation hormonale (en effet, il existe une incidence hormonale sur l’endométriose, puisqu’on assiste très souvent à une nécrose des foyers d’endométriose lors de certaines grossesses et au moment de la ménopause).
Disparition des douleurs en environ cinq à six séances.
Source : Comment soigne l'étiopathie de Pierluigi Locchi